Belgieninfo a rapporté à la mi-juin que le gouvernement belge refuse l’entrée d’une dame de nationalité marocaine dûment enregistrée à Bruxelles sur le territoire belge sans raison apparente. Légalement, l’affaire aurait dû se terminer il y a longtemps.

K.F. est retourné en Belgique après une réunion d’affaires au Maroc le 29 mai 2018. Malgré un visa valide et un permis de séjour en cours de validité en Belgique et un appartement à Bruxelles, elle n’a pas été autorisée à entrer dans le pays et elle a été détenue en elle depuis dans le Centre Caricole à Steenokkerzeel, situé à côté de l’aéroport de Zaventem.

En premier lieu, la sécurité d’état belge dit que la décision de refus n’exige pas de motivation, parce que sinon une débâcle diplomatique pour la Belgique avec un autre pays serait redouté. Le conseil a déclaré cet argument comme illégal et a par la suite annulé la décision. Deuxièmement, la sécurité de l’Etat revendiquée dans une manoeuvre de camouflage, que Mme K.F. serait un espion pour le Maroc et un agent du service de renseignement marocain. Ceci sans la moindre preuve ou explication.

K.F. a immédiatement fait appel contre le refus d’accès. Cette fois l’autorité revendiquée qui est responsable du refus d’accès que les services secrets belges, les services de sécurité , que K.F. est classé comme une personne dangereuse. La sécurité de l’État n’a fourni aucune autre explication ou justification de cette classification. Néanmoins, le Conseil des différends avec les étrangers suivi la décision des autorités belges et confirmé le refus d’accès. Déclarations du service secret, selon le Conseil, besoin d’aucune enquête supplémentaire, mais sont automatiquement crédibles, tu ne peux pas résister et où aucun contrôle judiciaire n’est possible.

K.F. a également fait appel de cette dernière décision. Le 22 juin 2018, la chambre du conseil du tribunal de première instance a décidé que la détention de K.F. au Centre Caricole était illégale et qu’elle devait donc être libérée immédiatement. Malgré cette décision de la cour, K.F. se tient également 14 jours plus tard au “Centre Caricole”.

Politiquement responsable de la détention injustement emprisonnée de K.F. est Secrétaire d’Etat à l’Asile et aux Migrations, ministre Theo Francken. Il est clair que le politicien N-VA ne prend pas trop au sérieux avec la primauté du droit. Après tout, selon les principes de l’état de droit les organismes gouvernementaux et leurs dirigeants politiques prendre des décisions juridiques.

La dimension européenne dans L’affaire

K.F. a avant tout une dimension politique européenne. K.F. est la présidente de l’ONG, L’Organisation Internationale des Médias Africains (OIMA), établie à Bruxelles. Son but est une meilleure compréhension et une coopération plus étroite entre journalistes africains et européens. Cela inclut de mieux connaître l’Union européenne et ses institutions. Dans ce sens, K.F. organise des conférences conjointes et des rencontres avec des représentants du Parlement européen et d’autres institutions. Naturellement, ce travail nécessite sa présence à Bruxelles, le siège du Parlement européen et de nombreuses autres institutions.

Avec l’accord d’établir des institutions centrales de l’UE à Bruxelles, La Belgique a également assumé l’obligation assurer l’accès à ces institutions pour tous ceux qui travaillent avec les institutions de l’UE, c’est-à-dire accorder des droits d’entrée et des garanties correspondants à la Belgique. Cela doit également être connu pour le secrétaire d’État à l’asile et aux migrations, le politicien de la N-VA, le ministre Theo Francken. Plus c’est surprenant et incompréhensible avec lequel les autorités belges refusent l’accès K.F. malgré la décision du tribunal du 22 juin 2018.

L’observateur est confronté à la question combien de temps Secrétaire d’État Theo Francken cette violation de continuer les principes constitutionnels.

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